Description du projet
Création identité visuelle Ville de Saint-Laurent du Maroni, Guyane.
Afin de développer la lisibilité et la visibilité de ses actions, la commune a souhaité adopter une nouvelle identité visuelle. Une nouvelle identité qui représente au mieux les spécificités et le caractère de la ville. Plus claire, plus épurée, reflétant une vision moderne du patrimoine historique et le dynamisme de la commune.
Affiches, flyers, page Facebook, page Instagram, supports sur site (banderoles, kakemonos, beach flags), documents officiels… L’ensemble des supports a été revu afin de proposer une communication contemporaine et homogène, l’objectif poursuivi étant la clarté de l’information pour le lecteur et l’identification immédiate de la ville de Saint-Laurent du Maroni.
Base de l’identité visuelle
• Reprise des 3 couleurs du logo pour la communication institutionnelle : le jaune représentant le soleil et les ressources aurifères, le bleu le fleuve Maroni, et le vert pour le végétal.
• Eléments graphiques géométriques faisant écho à la charte graphique VPAH, la ville étant labellisée Villes et Pays d’Art et d’Histoire.
• Intégration des briques emblématiques pour la communication liée au patrimoine.
• Mise en avant du patrimoine végétal de la Ville de Saint-Laurent du Maroni, Sèves de Guyane.
• Création d’une charte graphique.
Ville de Saint-Laurent du Maroni
Saint-Laurent du Maroni est une ville de la Guyane, elle se trouve au bord du Maroni, à la frontière avec le Suriname, et est connue pour être une ancienne colonie pénale.
Originellement construite par et pour l’Administration pénitentiaire, beaucoup des bâtiments officiels dans la ville sont d’un style unique d’architecture, un mélange des styles coloniaux et pénitentiaires.
Des briques faites avec de la terre rouge locale furent fabriquées et utilisées par les bagnards, qui fournissaient une main-d’œuvre gratuite et interminable. Ils construisirent tout un district officiel et administratif, commençant par leur prison, le Camp de la transportation.
Réhabilité dans une grande partie, l’ancien bagne possède un musée, le CIAP (Centre d’Interprétation de l’Architecture et du Patrimoine) proposant expositions, conférences, ateliers, visites du Camp et notamment la cellule où séjourna Henri Charrière, l’auteur de Papillon.
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