Scarfolk est une ville fictive dystopique du Nord de l’Angleterre, créée par l’écrivain et designer Richard Littler, qui se présente parfois comme son maire.
Scarfolk est restée figée dans les années 1970. Scarfolk est une satire non seulement de cette décennie, mais aussi d’événements contemporains. Scarfolk se dévoilait à l’origine à travers un blog prétendant publier des éléments des archives du conseil municipal.
Le blog présente différents aspects de la vie quotidienne, en introduisant les thèmes du totalitarisme, de la vie en banlieue industrielle, de l’occultisme et de la religion, de l’école et de l’enfance, du racisme, du sexisme. Les publications comprenaient des messages de service public, des livres épuisés, des enregistrements et des pochettes de cassettes, des publicités, des extraits de programmes de télévision, des produits ménagers, ainsi que des vidéos et enregistrements audio, dont beaucoup évoquent des marques et une esthétique typique de l’époque.
Les messages de service public contiennent souvent la phrase “For more information please reread” (“Pour de plus amples informations, veuillez relire”).
Les bonnes manières occupent une place importante dans la vie au Japon.
En 2008, le métro de Tokyo a fait appel à l’illustrateur et directeur artistique Bumpei Yorifuji pour rappeler les règles de courtoisie et de bienséance.
Diplômée de l’Académie des Beaux-Arts de Katowice en 2004, Kaja Renkas assemble images anciennes, gravures, photographies, cartes postales et crée des collages surréalistes qui ne sont pas sans rappeler Dada ou les Monty Python.
Il est temps d’être responsables de nos déchets. Les sacs-poubelle imaginés par MAQ, Inc, un groupe de créatifs basé à Tokyo, visent à «transformer les points de collecte d’ordures en projets artistiques».